Plus de 70 ans après, la plus importante fortification du monde encombre encore aujourd'hui les plages du littoral. Ce système extensif de fortifications côtières a été construit par le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale le long de la côte occidentale de l'Europe.
Ce véritable mur était destiné à empêcher une invasion du continent par les Alliés depuis la Grande-Bretagne. Elle reste aujourd'hui une épine difficile à enlever de la part de la France. En effet, les fantômes qui hantent ces bunkers ne sont pas seulement des Allemands de l'organisation Todt, cet Etat dans l'Etat chargé de mener à bien les grands chantiers du Reich. Ils sont aussi français.
Les chantiers de ces carcasses de béton ont été menés par des entreprises françaises parfois sous la contrainte, pour survivre et pour certains, y faire fortune. Aujourd'hui, de nombreux bunkers et blockhaus sont encore présents tout le long du tracé du mur. Certains ont été restaurés, d'autres abritent des musées, certains se sont affaissés avec le temps comme si la mémoire française voulait occulter cette page peu glorieuse de la France.
Le Covid-19, virus répandu en Chine, a rapidement atteint plusieurs pays dans le monde entier, causant des centaines de morts et des milliers de contaminés. En Belgique, le gouvernement espère parvenir à endiguer l’épidémie en appliquant le confinement.
Hilde a vécu une vie décalée qui ne se raconte pas sur un CV. « Mère-enfant », « prostituée », « cocaïnomane ». Entre les lignes, il y a toute la complexité d’une existence.
75 ans après la bataille des Ardennes, on y trouve encore, dans les profondeurs des caves, granges ardennaises, des objets témoins de cette page d’histoire.