L'église du Béguinage à Bruxelles est occupée par un groupe de sans-papiers de différentes nationalités: algériens, marocains, roumains et …européens, réunis ensemble par une détresse extrême. Leur ultime combat: La reconnaissance officielle de leur existence, de leur droit de vivre dignement et légalement dans la société où ils estiment avoir leur place. Chacun a son histoire mais tous ont en commun la même crainte: celle de se faire arrêter et d'être renvoyé dans son pays d'origine. Souffrant seul ou en famille, dans des conditions de vie de plus en plus précaires au fur et à mesure que l'hiver s'installe (manque de chauffage, toilettes et robinets à l'extérieur de l'église) Certains d'entre eux, habitent depuis une dizaine d'années en Belgique, ont un travail, un domicile et leurs enfants sont scolarisés. Les centres fermés sont de plus en plus remplis et les conditions d'expulsion sont parfois violentes. Certains ont entamé une grève de la faim au fur et à mesure que la pression médiatique s'est relâchée. Des nombreux belges ont cru que la régularisation de ces personnes en situation illégale ne serait qu'une question de temps. Aujourd'hui encore, plusieurs sans-papiers de l'église du Béguinage vivent toujours illégalement en Belgique.
Le Covid-19, virus répandu en Chine, a rapidement atteint plusieurs pays dans le monde entier, causant des centaines de morts et des milliers de contaminés. En Belgique, le gouvernement espère parvenir à endiguer l’épidémie en appliquant le confinement.
Hilde a vécu une vie décalée qui ne se raconte pas sur un CV. « Mère-enfant », « prostituée », « cocaïnomane ». Entre les lignes, il y a toute la complexité d’une existence.
75 ans après la bataille des Ardennes, on y trouve encore, dans les profondeurs des caves, granges ardennaises, des objets témoins de cette page d’histoire.