Tiraillés entre la tradition marocaine et la culture occidentale, certains de ses habitants sont emblématiques de la vie chahutée du quartier Nord. Les filles de joie à moitié nues de la rue d'Aerschot, qui aligne près d'une centaine de vitrines aguicheuses, côtoient les femmes voilées de la rue de Brabant, dont les échoppes d'épices orientales et de théières argentées exhalent un enivrant parfum de souk. Les jeunes du quartier Nord, dont on parle souvent avec préjugés et stéréotypes, flânent pour tromper leur ennui, sur les places du quartier devant les murs couverts de tags, expression de leur regard sur leur société, ou au pied de ces immeubles du quartier dont la froideur contraste avec leur fureur de vivre.
Le Covid-19, virus répandu en Chine, a rapidement atteint plusieurs pays dans le monde entier, causant des centaines de morts et des milliers de contaminés. En Belgique, le gouvernement espère parvenir à endiguer l’épidémie en appliquant le confinement.
Hilde a vécu une vie décalée qui ne se raconte pas sur un CV. « Mère-enfant », « prostituée », « cocaïnomane ». Entre les lignes, il y a toute la complexité d’une existence.
75 ans après la bataille des Ardennes, on y trouve encore, dans les profondeurs des caves, granges ardennaises, des objets témoins de cette page d’histoire.