La Belgique, et la Wallonie particulièrement, ont été concernées depuis le Moyen-âge par l’exploitation du charbon. Aujourd’hui encore de nombreuses traces matérielles et immatérielles subsistent à travers le pays.
Depuis leurs fermetures, les mines ont sombré quelque peu dans l’oubli et l’inconscient collectif, hormis une récente mise à l’honneur de certains charbonnages wallons (Blegny, le Grand-Hornu, le Bois-du-Luc et le Bois du Cazier) par leur reconnaissance en tant que patrimoine mondial de l’UNESCO.
La mine c’est le fond, l’enfermement, la douleur, le noir et la poussière. C’est aussi un père ou un grand-père qui y ont travaillé. Longtemps parfois. Pour éviter la misère, nourrir sa famille ou éviter d’être emmené en Allemagne comme travailleur forcé.
«Bonne Fortune», quel joli nom pour un lieu d’aussi dur labeur aujourd’hui disparu comme tant d’autres.
C’est toute cette mémoire du charbon qui tend à s’éteindre, et par delà, celle des milliers d’hommes et de femmes de tous horizons concernés par cette industrie houillère, que nous souhaitons absolument contribuer à remettre à l’honneur, conserver et transmettre.
Le Covid-19, virus répandu en Chine, a rapidement atteint plusieurs pays dans le monde entier, causant des centaines de morts et des milliers de contaminés. En Belgique, le gouvernement espère parvenir à endiguer l’épidémie en appliquant le confinement.
Hilde a vécu une vie décalée qui ne se raconte pas sur un CV. « Mère-enfant », « prostituée », « cocaïnomane ». Entre les lignes, il y a toute la complexité d’une existence.
75 ans après la bataille des Ardennes, on y trouve encore, dans les profondeurs des caves, granges ardennaises, des objets témoins de cette page d’histoire.